Ce qui restera à la fin de notre vie
Ce qui restera à la fin de notre vie, c’est tout ce que nous aurons donné.
Et, sans doute aussi, tout ce que nous aurons par-donné.
Je n’ai pas décidé du jour de ma naissance.
Et je ne déciderai probablement pas du jour de ma mort.
Entre ces deux événements, la plupart du temps, la décision m’appartient.
Chaque jour, je peux influer sur mon futur.
Et chaque minute qui passe est une occasion de changer le cours de ma vie.
Car, le bonheur ne se cherche ni ne se trouve. Il se décide et se construit.
Pour cela, j’ai en moi une énergie colossale qui s’appelle « moi ».
Et les outils uniques que sont mes qualités et mes différences.
Me mettre en route et changer mon regard
Une voiture immobile sur le bord de la route n’ira pas loin.
Pour qu’elle atteigne sa destination, il faut démarrer le moteur.
Je dois moi aussi, me mettre en route et choisir ma destination et mon chemin.
Mettre en route mon corps, mais aussi mon esprit.
Et utiliser cette fabuleuse base de données qu’est mon expérience personnelle.
Mes sens m’offrent des possibilités énormes et essentielles pour m’apprendre à positiver.
Je peux regarder le magnifique, écouter le beau, sentir le bon.
Et extraire le meilleur de chaque situation.
Il y a en effet, deux façons de vivre sa vie.
Voir le verre à moitié plein ou le verre à moitié vide.
Les optimistes, comme les pessimistes mourront un jour.
Mais tous n’auront pas vécu la même chose.
Si je me plains du verre à moitié vide, je me fais mal et je sème de l’inquiétude.
Si je me réjouis du verre à moitié plein, j’appelle d’autres plaisirs et je sème de l’espérance.
Créer pour donner et donner sans compter
Avez-vous remarqué, que chaque fois que nous créons, nous sommes fiers et épanouis ?
Créer un texte, une photo, un dessin ou une musique.
Faire naître un carré de fleurs dans un bout de son jardin.
Ou imaginer une recette pour un repas avec des amis.
Créer pour partager et pour donner une partie de nous-mêmes.
Avez-vous remarqué aussi qu’il y a plus de joie à donner qu’à recevoir ?
Alors, n’hésitons plus à donner sans compter, sans calcul ni arrière-pensée.
Offrir ce que nous avons en trop et que nous pourrions gaspiller.
Proposer un peu de notre temps et de notre écoute.
Offrir notre sourire ou notre lumière dans le noir.
Et surtout donner notre amitié ou notre amour.
Ce qu’on a donné, on ne peut plus le perdre.
Chaque fois que nous donnons, nous nous enrichissons de la rencontre que nous avons osée.
Et, en même temps, nous prenons conscience de notre propre richesse.
Oui, c’est sûr !
Ce qui restera à la fin de notre vie, c’est tout ce que nous aurons donné.
Et, sans doute aussi, tout ce que nous aurons par-donné.
Norbert MOUIREN
Contact : contact@motsenliberte.fr
honnête, sensible, merci NORBERT de ce très beau texte.
NICOLE
merci pour cette très belle réflexion!
bonne continuation en attendant la prochaine
Simone Dubois
OUI NORBERT CETTE LETTRE MA BOULEVERSER JE VOUS EMBRASSE TOUS
MINOU
Bonsoir
Le poids des mots..
Merci pour cet agréable moment,
J’ai pris beaucoup de plaisir à lire ce blog, à bientôt pour la suite.
Philippe Bertrand
Félicitations à vous Monsieur pour vos écrits qui reflètent fort bien la réalité de la vie. Ils sont très agréables à lire et riches d’enseignement. Mon épouse et moi même avons été séduits par votre écriture. C’est une bonne idée de les exprimer de la sorte et je peux dire que je me suis retrouvé dans bon nombre de cas évoqués. On ne peut que vous encourager à continuer de vous exprimer de la sorte. Jean-Paul et Elise
Bravo Norbert pour la vérité de ce texte et merci de l’avoir mis en forme. Bienvenue dans le domaine de la Blogosphère. C’est une source d’échanges et d’enrichissements sans limites …Tel que je te connais, je m’étonnais que n’y ai pas encore accédé. C’est à présent chose faite et je ne doute pas que tu vas y faire de nombreuses rencontres…..
Bravo tout cela est très vrai continue