Le monde appartient aux optimistes

Le monde appartient aux optimistes, les pessimistes ne sont que des spectateurs.
(François Guizot).

Le pessimiste assombrit le monde de ses funestes prédictions.
Il considère que si le pire n’est jamais sûr, il est en tout cas probable.
Aussi sort-il toujours avec le parapluie de la méfiance, y compris lorsqu’il fait beau.
A force d’être sur sa réserve, le pessimiste laisse le monde se faire sans lui.
Il préfère même s’en faire oublier.

L’optimiste, lui, a une vision lumineuse du monde.
Il a décidé d’en déceler les promesses plus que les menaces.
Il préfère s’attarder sur l’ouverture des possibles que sur le blocage des situations ou le verrouillage des individualismes.

Faire de nos rêves des réalités

Le pessimiste est repli résigné.
Tandis que l’optimiste est confiance engagée et parfois conquérante.
C’est assurément de la douce folie qui berce le cœur des optimistes.
Mais se priver de cette folie là, ne serait-ce pas une honteuse capitulation sur le champ de batailles de l’espérance ?

Oui, sans cette douce folie, ne serions-nous pas guettés par le racornissement de l’âme ?
Ou par une déperdition de notre énergie vitale qui nous amènerait à renoncer à faire de nos rêves, des réalités ?

Tenons-nous loin des pessimistes, ils ont un problème pour chaque solution.
Laissons-nous entraîner et convaincre par le sourire optimiste de Célia.

D’après François GARAGNON

Contact : contact@motsenliberte.fr

Photo : Célia par Norbert MOUIREN avec l’autorisation de Marion et Xavier.


Je dédie cet article à tous les pessimistes que je connais afin qu’ils aillent mieux ! NM

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